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mercoledì 16 aprile 2014

L'EN PRIMEUR 2013 DI DESSEAUVE E BETTANE



          di Thierry Desseauve


On ne le cachera pas, 2013 n’est pas un « grand » millésime. Les conditions climatiques de l’année ont été à la fois inédites et ultra compliquées à gérer par les vignerons. Un hiver très froid suivi d’un printemps glacial et pluvieux entraînèrent un retard et une hétérogénéité terrible dans la floraison de la vigne. En juin, quelques orages de grêle ravagèrent en outre certains crus. Mais les mois de juillet et d’août furent chauds, ensoleillés, splendides en un mot : la vigne rattrapa une partie de son retard, même les rendements apparaissaient déjà extrêmement limités et les différences de maturité d’un raisin à l’autre souvent énormes. Septembre fut agréable jusqu’à ce que des murs de pluie se déversent à la fin du mois, puis après le 9 octobre. Au final, petite récolte et grosses difficultés. Ce millésime me rappelle l’un des premiers millésimes bordelais que j’ai suivi, 1984. Pas en primeur, mais dès la mise en bouteille. Avec 1992, 1984 est certainement le plus mauvais millésime bordelais de ces trente dernières années. À l’époque, on parlait plus de vinification et d’élevage que de viticulture. En dégustant ces 1984, j’avais été surpris par la raideur des tanins et souvent la dilution du vin provenant de raisins gorgés d’eau et souvent attaqués par la pourriture. Pourtant, cette mauvaise matière première avait subi des cuvaisons plus longues que dans les millésimes précédents-pour extraire plus de tanins et faire des vins plus charpentés- et avait été élevée dans des barriques de chêne plus récentes, parfois neuves. Les redégustant quelques années plus tard, on découvrait des vins décharnés, aux tanins secs et verts et toujours dominés par des arômes qui rappelaient ceux d’une planche de bois. J’en avais tiré une leçon : récolter un raisin à la meilleure maturité possible est la clé des vins réussis.
Précisément, ce millésime 2013 montre à quel point la viticulture a progressé et sait aujourd’hui maîtriser ce type de conditions. Au milieu de vins dilués ou au contraire raides, on trouve aussi beaucoup d’échantillons harmonieux, jouant avec intelligence la finesse et la fraîcheur plutôt que la puissance, témoignant du génie de leur terroir plutôt que du savoir-faire de leurs œnologues. « Il n’y a plus de mauvais millésimes », entend-on de plus en plus. C’est certainement vrai si l’on considère que l’on sait aujourd’hui s’adapter à beaucoup d’aléas climatiques. Mais il reste des mauvais vignerons…


12 vins accessibles et à ne pas manquer
                Château Figeac, parce qu’il se rapproche des plus grands et que son prix restera sage
                Château Jean Faure, confirmant son statut de super challenger à Saint-Émilion
                Château Laroze, une vraie personnalité pour connaisseurs
                Clos Saint Julien, minuscule propriété de Saint-Émilion, mais grande classe
                Clos du Clocher, toujours bon et encore cette fois-ci
                Château Haut-Carles, parce qu’il serait temps que l’on s’aperçoive de l’excellence de ce cru de Fronsac
                Château Croix-Mouton, le bordeaux de Philippe Janoueix a du nerf, de la profondeur et beaucoup de personnalité
                Château Le Boscq, discret saint-estèphe qui s’impose avec force et sérénité
                Château Monbrison, la classe de Margaux, tout simplement
                Château Durfort-Vivens, incontestablement revenu dans son rang
                Château Dauzac, ou le début d’un renouveau ?
                Château Pédesclaux, où le renouveau se confirme.
… et un blanc extraordinaire
                Château de Valandraud, bordeaux blanc



di Michel Bettane
2013 fut certainement l’une des années les plus difficiles du dernier quart de siècle pour le vigneron bordelais. Sans parler de larges zones complètement ravagées par la grêle et n’ayant rien pu produire, l’alternance schizophrénique de périodes trop froides ou trop chaudes, trop sèches ou trop humides et toujours au mauvais moment a été un vrai cauchemar. D’immenses progrès techniques au niveau des matériels de tri du raisin et de réception des vendanges ont permis de produire des vins d’une qualité qui aurait été inconcevable il y a encore vingt ans.
Les blancs secs récoltés à la mi-septembre ont profité de leur précocité. Nerveux, très aromatiques, très denses en raison des petits rendements, ils réconcilieront peut-être le public international avec leur style bien tranché. Les raisins rouges n’ont pu aller jusqu’au bout d’une maturité tardive en raison du développement galopant de la pourriture, mais le mois de juillet très chaud a paradoxalement brûlé les marqueurs aromatiques d’une vendange rentrée pas assez mûre et on trouvera rarement des arômes excessifs de poivron qui déplaisent tant aux professionnels.
Les meilleurs rouges sont certes nerveux, mais très francs et on se réjouira de l’habileté avec laquelle la nouvelle génération de vinificateurs a su éviter les excès d’extraction. Enfin, les vins liquoreux ont été les grands gagnants de cette vendange. Ici, le développement de la pourriture noble était nécessaire pour l’obtention de la qualité. Les vins sont riches, frais, sans aucune lourdeur dans leur liqueur et devraient faire de très belles bouteilles.

Voici 10 vins d’un futur rapport qualité prix probable
                Château Olivier, pessac-léognan rouge
                Château Labégorce, margaux
                Château Durfort-Vivens, margaux
                Château Meyney, saint-estèphe
                Château Pédesclaux, pauillac
                Château Sigalas-Rabaud, sauternes
                Château Fonplégade, saint-émilion
                Château Marjosse, bordeaux blanc
                Château Rahoul, graves blanc
                Château de Cérons, cérons
Château Climens à Barsac n’a pas été noté
 comme d’habitude, l’assemblage du vin n’est pas fait et nous dégustons les lots successifs en suivant l’ordre des vendanges. La base du vin sera formée d’une première trie de fin septembre somptueuse et d’un passage plus tardif après la mi-octobre ayant bénéficié d’une très chanceuse accalmie des pluies. Ce sera certainement un très beau climens, opulent, dense, noblement aromatique, mais évidemment on ne peut pas encore noter un vin qui n’existe pas. Certains le feront peut-être…



lunedì 14 aprile 2014

LA GARGANEGA DI CRISTIANA MEGGIOLARO




Una storia di vigna, tutta da seguire. Cristiana Meggiolaro e Riccardo Roncolato si ritrovano con un pugno di filari semidistrutti di Garganega alle spalle di Verona, a Roncà, sulla collina delle Taibane, circa trecento metri d'altitudine. Le barbatelle hanno poco meno di cinquantanni, il terreno composto di sassi neri, lave basaltiche, reminder della presenza di un vulcano. Arriva Federico Curtaz, enologo, che di vigne in terreni di origine vulcanica se ne intende e l'agronomo Roberto Abate. Prende forma l'idea di una agricoltura biologica senza gridarlo ai quattro venti e fanno parte dei vignaioli indipendenti. Passione e impegno sono la forza che permette di mettere in bottiglia quella Garganega in purezza dopo aver salvato barbatelle e rimesso in sesto la vigna. Il 2010 è una esplosione di frutta gialla "umile" ben calibrata, poco mango e molta susina selvatica gialla. Un erbaceo appena percettibile e una ricchezza minerale che fanno pensare a una buona possibilità di invecchiamento. Credo che il 2010 sia il risultato della terza vendemmia, ma anche se non lo fosse resto dell'avviso che potrebbe trattarsi, in vena di paragoni, di un vino molto vicino agli Chablis della Borgogna e ai Pouilly Fumé della Loira. A differenza di molti questo bianco non fa legno, ma soltanto acciaio. Ne scaturisce una bel bilanciamento tra struttura, freschezza e armonia. La chiave di volta è una accattivante nota salmastra che pervade il palato quando lo si degusta.




DOVE COME QUANDO

Cristiana Meggiolaro
Via Roncolati, 43 B
località Brenton
Roncà (Vr)
Tel. +39 045 654 5067
www.cristianameggiolaro.it
Ettari di vigna: 5
Produzione: 20.000 bottiglie


Ceneri delle Taibane 2010
Gambellara Classico
Vitigno: Garganega
Età media viti: 50 anni
Ettari di vigna: 3
Prezzo in enoteca: euro 12



giovedì 10 aprile 2014

MURIALDO E IL MONDO DEI VINTI, UNA MOSTRA


Gli scatti in bianco e nero del fotoreporter albese Bruno Murialdo sono la testimonianza del "mondo dei vinti" tratteggiato mirabilmente su carta nei racconti di Cesare Pavese, Beppe Fenoglio, Nuto Revelli, a dieci anni dalla morte, con il suo "Anello forte" e le donne del mondo contadino. Indissolubili. Bruno è l'ultimo epigono di quella saga che ha avuto nella campagna piemontese la sua roccaforte. Il suo racconto fotografico rappresenta un tesoro visivo, un alimento dell'anima, rispetto e forza indistruttibile per chi, oggi ha ancora la capacità di girarsi indietro e interrogare il passato. Alcune immagini, come le tre proposte, sono esposte a Palazzo Ducale di Genova sino al 4 maggio insieme a quelle di Paola Agosti e altri significativi appuntamenti culturali sull'evoluzione del cibo, nel bene e nel male. Dalle piazze del cibo alla via delle spezie, dalla cucina futurista alla fuga dalla fame nel periodo 1936-43 negli Stati Uniti documentata qui dagli scatti di grandi fotoreporter durante la recessione agricola americana dopo la crisi del 1929.

di Bruno Murialdo, fotoreporter

"Le immagini che cadono da un sogno si materializzano nello spazio della mia storia e si rivelano regalandomi il ritorno alle mie radici con i volti, i costumi, il sapore  e la nostalgia della terra. Con queste parole raccontavo a Nuto  della mia famiglia, di un padre legato alle sue origini  che ha  dovuto emigrare  nel dopo Guerra  e una madre  che  ha sofferto molto lontano dalla sua terra.  I paesi di questo Piemonte si sono spogliati di umanità,  hanno bagnato la terra di lacrime e di sudore, hanno lasciato gli affetti  e i sentimenti. Sono stati traditi dal destino “Porco “ , da una miseria  che non dava spazio alla tolleranza. Noi figli di questo mondo ci sentiamo come  sospesi tra quei ricordi e la realtà. Oggi quelle colline, quei borghi raccontano ancora quell’abbandono,  il silenzio  e il vento  nutrono la nostalgia di una voce, di una zappa, di un profumo  d’erba . Neanche più i galli ci danno il buon giorno su quelle colline senza vita. Oggi davanti a noi  rimangono queste  immagini sbiadite, fotografie che ricordano  i sorrisi, le speranze, le timidezze  di quei personaggi che hanno fatto parte della mia vita".

 





DOVE COME QUANDO
Palazzo Ducale
Piazza Matteotti, 9
Genova
Tel. +39 010 5574 065
www.palazzoducale.genova.it

martedì 8 aprile 2014

ADRIANA SCOPRE IL ROSSO MAROJALLIA MARGAUX






Mercredi 2 avril. La température monte dans les chais du château Beauséjour-Bécot. Adriana Karembeu, micro robe blanche sur collants noirs, 1 m 85 en équilibre sur ses stilettos, cheveux blonds déployés sur sa cape de fourrure noire, s’avance tranquillement, s’asseoit sur une barrique, sourit. Adriana ! Adriana ! Adriana ! Son prénom fuse en mode rafale, au rythme des flashes qui crépitent. En pleine Semaine des primeurs, lors de la 4e édition des Clés de Châteaux organisée par Dany et Michel Rolland (150 vins de 88 propriétaires à la dégustation), l’ex top-model est venue promouvoir Marojallia, le margaux de Philippe Porcheron*.
Vous êtes une star, Marojallia n’en est pas une dans son appellation…
Je ne connaissais pas ce vin, je l’ai goûté, il m’a plu, tellement même que c’est par lui que je me suis mise à aimer et comprendre le vin. Une belle rencontre.
Dans quelles circonstances ?

Lors d’un dîner à l’Ami Louis à Paris début 2013. J’étais avec des amis. Nous dégustions un Petrus. À la table d’à-côté, on me reconnaît et on me demande si je veux bien goûter ce vin, Marojallia, que les convives sont en train de partager. On, c’est Philippe Porcheron, le propriétaire du cru. Je trouve le vin très bon. On discute un peu et Philippe me propose de venir à la propriété lors des prochaines vendanges. Pour m’expliquer comment il fait son vin. J’ai accepté.




Et donc à Margaux …
Avant ça, j’avais eu un aperçu de ce que sont les vendanges, chez Lanson. Mais je n’avais pas encore le goût du vin. Je n’aimais tout simplement pas ça. Je ne comprenais rien quand j’entendais framboise ou bois ou réglisse. Mais j’admirais les gens qui savaient en parler. J’ai eu le déclic, j’aime le vin et ça change tout. Dans les vignes, je veux tout savoir sur tout. Et je trouve ça dingue. Maintenant que j’ai découvert le plaisir du vin, je me rends compte que je suis passée à côté de beaucoup de choses. Je suis heureuse de pouvoir enfin profiter de ça. Le vin est intéressant sur tous les plans, c’est un objet de passion et d’histoire qui créé des liens entre les gens. L’année dernière, j’ai été intronisée dans la Commanderie du Bontemps, très impressionnée.
Pourquoi aimez-vous ce Marojallia en particulier ?
C’est une cuvée de perfectionniste, il me correspond. J’aime sa profondeur. Philippe s’y consacre depuis quinze ans, c’est un vin magnifique.
Quels vins aimez-vous ?
Bien sûr, j’ai la chance de déguster de très grands vins. Je pense avoir les bons outils : un palais, je suis très gourmande et, surtout, un nez. Ça, je l’ai découvert à Grasse quand j’ai créé mon parfum (Adriana Karembeu For Him and For Her) en choisissant chaque élément. Je sais ce que j’aime : les vins avec une colonne vertébrale, longs, corsés, tanniques, ça ne me fait pas peur. J’aime aussi les vins gras. Et les muscats. Enfin, j’adore le blanc de château Font du Broc (AOC Côtes de Provence). J’ai une petite cave personnelle chez moi à Monaco, mais j’ai une consommation très modérée : plutôt le week-end et un à deux verres, pas plus. J’aime partager avec mes amis ces moments-là, ainsi que les grands crus que je peux découvrir au cours de mes voyages.
Posséder un vignoble, c’est une tentation ?
Oui, j’adorerais faire mon vin, j’ai même déjà cherché dans le sud de la France. Mais avoir un vignoble, c’est une façon de vivre en soi. Si j’en avais un, je passerais ma vie dans les vignes, du matin au soir en bottes de caoutchouc et je le ferais par plaisir. C’est incompatible avec mon mode de vie actuel. Mais je me vois bien vieillir comme ça. Un magnifique vignoble dans le sud…
 Paz Biziberri/ My Bettane + Desseauve



DOVE COME QUANDO

Chateau Marojallia 
Domaines Philippe Porcheron
2 Rue du général de Gaulle
Margaux
Tel.+33 5 56 58 3577
www.marojallia.fr
Ettari di vigna: 4

Marojallia
AOC Margaux
Ettari di vigna: 1,5
Vitigni: 24% Merlot, 76% Cabernet Sauvignon
Età media delle vigne: 50 anni
Produzione: 500 casse/anno

Secondo vino
Clos Margalaine
Produzione: 1000 casse/anno

giovedì 3 aprile 2014

FABIO BALDASSARRE, PIANO TERRA A BRERA




Dal grattacielo del ristorante Unico a Brera il passo è meno breve di quanto appare. Fabio Baldassarre resta a Milano e si sposta nel cuore della città in un angolo dove pullula la concorrenza, ma lo chef è dotato di capacità uniche che lo metterano presto su un piedistallo di primo piano. Nuova avventura con ristorante interno al Carlyle Brera di corso Garibaldi, del patron Emanuele Vitrano, da tempo alla ricerca di uno chef che sposasse il progetto. Quaranta posti e ingresso separato dall'albergo. Cucina di mare e di carne, ma soprattutto ricette della tradizione e personalizzate dallo chef, uno dei più discreti e di qualità del panorama italiano. Fabio non ha saputo resistere anche all'apertura di un Bistrot-Bar interno. Con la sua presenza garantita tra i fornelli ci sarà da scegliere semplici bocconi di gran gusto, dal club sandwich Brera a 15 euro al panino al Patanegra. Staff di cucina di sole donne o quasi.  Il viaggio è appena cominciato e l'attenzione è già alle stelle.




DOVE COME QUANDO

Fabio Baldassarre  Restaurant
Carlyle Brera Hotel
Corso Garibaldi, 84
Milano
www.fabiobaldassarre.com
Apertura: martedì-sabato

Bistrot e Bar
Apertura: ogni giorno dalle 12 alle 24



martedì 1 aprile 2014

EN PRIMEURS BORDEAUX: BLITZ PONTET-CANET



Le château Pontet-Canet, 5ème grand cru classé 1855 (Pauillac), a pris tout le monde de court ce matin en annonçant, avant même la campagne officielle des Primeurs, son prix pour le millésime 2013.

di Mathieu Doumenge
Décidément, il semble écrit que ce millésime 2013 ne ressemblera à aucun autre pour Bordeaux. Chahuté par les éléments, déjà enterré par beaucoup d’observateurs (malgré tous ceux qui appellent à trier le bon grain de l’ivraie et à goûter les vins avant de les dénigrer…), il va être au centre de toutes les attentions à partir de la semaine prochaine, avec une campagne des Primeurs qui s’annonce encore plus compliquée qu’en 2011 et 2012. Quels châteaux auront tiré leur épingle du jeu ? Quelles seront les réussites et les déceptions ? Quel sera le juste prix pour ce 2013 ? Autant de questions sur lesquelles nous tenteront d’apporter l’éclairage le plus complet possible dans les jours à venir. Mais certains semblent déjà avoir des éléments de réponse, à l’image du château Pontet-Canet.




Le 5ème grand cru classé 1855 (AOC Pauillac) vient de prendre tout le monde de court en annonçant, dès ce matin, le prix de son millésime 2013 : « 67,40 €, un prix exactement identique à celui du 2012″, souligne le propriétaire Alfred Tesseron. En baisse par rapport aux 2009 et 2010, mais toujours nettement au-dessus du 2008.




Avant même que les premières impressions officielles sur les Primeurs soient publiées, alors même que les marchés réclament déjà une baisse des prix, Alfred Tesseron annonce la couleur : « pour moi, la semaine des Primeurs n’a jamais été un indicateur. Il faut « sentir » la campagne. Il n’y a pas de règle. Chaque propriété a son prix, et il faut que ce prix convienne au marché. Moi, je sais ce qui est bon pour le cru. Quant à ceux qui enterrent déjà ce millésime, je les invite à venir le déguster avant de le juger. Nous les recevrons de manière très professionnelle. Mais j’ai déjà suffisamment lu de choses anormales sur ce millésime pour être en mesure de prendre ma propre décision ». C’est donc un signal fort qui est envoyé. Reste à voir quelle réponse le reste du vignoble bordelais va lui apporter.

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